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Retour, entre rêve surréaliste et cauchemar
Tout a une fin. Donc, il fallut rentrer.
La pluie d'abord puis les roues boueuses, surchargées.
7 heures pour faire 80 km. Des kilomètres d'embouteillage dans tous les sens interdits. Incroyable et inracontable.Le moteur de la voiture en surchauffe, l'arrêt de la voiture en pleine nuit dans un village sorti de nulle part.Et puis l'entraide : de jeunes garçons appelant des supposés mécanos déversant des bidons d'eau sur le moteur. Au coeur de la nuit, des sourires et des promesses que tout irait bien jusqu'à Cotonou.
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Commentaires
2anaJeudi 6 Novembre 2014 à 12:59Dur ce retour. Mais à choisir entre les embouteillages quotidien de Montpellier où seule l'enseigne de Carrefour surgit dans la nuit....
:)))) Quelle aventurière tu es !
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1) Les instants de rêves ne finissent que pour donner naissance à d'autres rêves!
2) Les mains sont belles quand elles s'ouvrent aux autres
3) Les sourires de gens de la nuit sont des réponses a ton propre sourire!
Et en cela tu donnes à ceux qui, ici sur ce blog te suivent, le goût des autres....
Tu donnes peut être aussi une réponse à propres questions:
il y a des réponses dans la nuit la plus étrangère soit elle; l'eau, il suffit simplement d'un peu d'eau et d'une pause quand surchauffent nos vies d'égarés!!
Merci encore pour tes oasis !